Yanka, la Porte des Lumières - Forum Paranormal
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Yanka, la Porte des Lumières - Forum Paranormal

Forum PARANORMAL, pour une APPROCHE DIFFERENTE et LIBRE
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 VARGINHA

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité



VARGINHA Empty
MessageSujet: VARGINHA   VARGINHA EmptyDim 6 Avr - 20:36

VARGINHA

Les pompiers de la ville de Varginha (Sud du Brésil) reçoivent un appel téléphonique le 20 janvier 1996 à 8h00 du matin : "Venez vite, venez vite ! Il y a un animal bizarre dans le jardin public." Mais ceux-ci, croyant à un canular, n'arriveront sur place que 2 heures plus tard. Au téléphone, la voix masculine leur a indiqué les fourrés du Jardim Andere, un parc de la banlieue Nord de Varginha. C'est donc là que les pompiers entament leurs recherches, équipés de cages et de filets. Mais ils ne s'attendaient sans doute pas à une telle rencontre : en bas d'une pente assez raide, près de la partie boisée du parc, ils se retrouvent face à une créature d'un mètre de haut, accroupie sur ses deux pattes, les yeux rouge sang, la peau brune, possédant trois bosses sur le front, elle na pas de bouche mais un petit orifice, d'où sort un étrange bourdonnement, semblable à celui d'un essaim d'abeilles. Elle semble blessée.

Tandis que quatre pompiers capturent l'étrange créature, leur chef s'empresse de téléphoner à une base militaire voisine. Le général Sergio Coelho, commandant de cette base, ordonne aussitôt à ses hommes, de boucler le plus rapidement possible les abords du jardin public : l'affaire est de haute importance. Finalement, quatre pompiers s'emparent de la créature. A peine est-elle enfermée dans une caisse en bois, qu'ils ont ordre de la remettre aux militaires, arrivés sur place en un temps record. Pompiers et militaires vont ensuite quitter les lieux très rapidement. Le général Lima peut se féliciter d'avoir mener son opération d'un coup de maître : la créature capturée restera secrète, car, pense-t-il, les quelques civils ne pourront témoigner que de manière incomplète. Mais, un maçon, Henrique Jose, a assisté à la totalité de la scène, depuis le toit dans immeuble tout proche, son témoignage va donner une toute autre dimension à cette affaire.

Un deuxième événement se produira également le jour même. Et cette fois, pompiers, militaires mais aussi un ufologue local, Ubirijara Franco Rodrigues, arriveront sur les lieux. Sur la foi de plusieurs coups de téléphone, U. F. Rodrigues va s'empresser d'interviewer trois jeunes filles, prétendant avoir vu, vers 15h30, une créature étrange, tapie devant un immeuble bordant le Jardim Andere, non loin de l'endroit où la première créature a été capturée. Au moment de l'interview, l'ufologue n'est d'ailleurs pas au courant de la première apparition, et il ne fera le lien entre les deux qu'ultérieurement. Les jeunes filles déclarent avoir rencontré le diable en personne ; la créature portait trois bosses sur le front et ressemblait à un démon. Terrifiées, elles ont aussitôt pris la fuite pour se réfugier chez la mère de deux d'entre elles. Entre temps, alertés par des habitants du quartier, paniqués par l'apparition, pompiers et militaires sont arrivés sur place. La capture sera moins discrète que celle du matin : c'est sous les yeux d'une petite foule rassemblée dans la rue, que la créature, qui semble elle aussi mal en point, sera capturée et chargée dans un camion de l'armée.

Quelques temps après ce 20 janvier 1996, Ubirijara Franco Rodrigues croisa un autre ufologue, Rodrigues Pacaccini. Ce dernier avait commencé son enquête sur ces événements du 20 au matin, mais il ignorait tout du deuxième incident. Les deux hommes crurent même un moment qu'ils enquêtaient sur la même apparition. Ils se rendirent vite compte qu'il s'agissait de deux faits distincts, mais certainement liés. Ils décidèrent donc de mettre leurs ressources en commun et d'organiser une campagne d'affichage, afin que l'ensemble des témoins se fasse connaître. Rapidement, la communauté des ufologues brésiliens sera informée de la capture par les militaires de ce qui semble être deux extraterrestres. Plusieurs publications brésiliennes vont également en faire état. Convergera alors à Varginha une foule de curieux venus des quatre coins du pays, dont certains exprimeront avec insistance leur volonté de comprendre ce qui s'est vraiment passé. Pour répondre à cette attente et élargir l'appel à témoins, les spécialistes organiseront plusieurs réunions publiques d'information et convoqueront la presse locale : en quelques jours, une soixantaine de témoins oculaires se fera connaître des enquêteurs. Varginha est une ville de garnison, et de nombreuses familles ont au moins un de leurs membres dans l'armée : les incidents du 20 janvier furent donc largement commentés dans les foyers de la cité. A plusieurs reprises, des personnes déclarèrent aux enquêteurs qu'un frère ou un mari avait soit assisté, soit directement pris part aux événements. Grâce à ces indications, les enquêteurs purent prendre contact avec les intéressés et, contrairement à une règle générale en matière de phénomènes ovnis, certains acceptèrent bien volontiers de témoigner.

Un policier présent sur les lieux est simplement égratigné par l'une par l'une des créatures, lors de sa capture, celui-ci décéda deux jours plus tard. Si le communiqué officiel de l'hôpital indiquait une pneumonie comme cause du décès, la famille du défunt ne put jamais obtenir de renseignements plus précis sur cette mort.

Quoi qu'il en soit, les langues se délièrent, tous les témoignages étaient concordants, et les enquêteurs disposaient désormais de données de plus en plus précises. Ils purent bientôt reconstituer une "version officieuse complète" des événements. Ainsi, d'après plusieurs témoignages, la première créature capturée le 20 au matin fut transportée à l'école des sous-officiers de Tres Coracoes, au Sud-est de Varginha. Et l'on n'en sait guère plus à son sujet. Ce n'est pas le cas de la deuxième, à propos de laquelle les informations sont plus détaillées.

En croisant les différents témoignages recueillis, les deux ufologues décidés à tirer cette affaire au clair, purent établir que la deuxième créature avait été transportée à l'hôpital régional de Varginha, le 20 janvier en fin d'après-midi. Selon des sources médicales, la créature fut transférée le même jour, ou le lendemain matin, à l'hôpital Humanitas de Varginha, bien mieux équipé pour soigner ses blessures. Mais cela devait s'avérer insuffisant puisque, selon les membres du personnel de cet hôpital, la créature y serait morte le lundi 22 janvier, vers 18 heures. Peu de temps après, au moins quinze médecins et un certain nombre de militaires, de policiers et de pompiers furent convoqués pour une étrange séance d'examen de post-mortem. L'une des personnes présentes raconte, que la créature gisait, étendue sur une caisse de bois, au centre d'une salle. L'un des médecins aurait alors forcé l'ouverture de la minuscule bouche du cadavre pour en retirer doucement une langue noire. Après quelques secondes, le médecin relâcha sa prise et la langue se rétracta immédiatement. Les témoins de cette scène expliquèrent aussi que la créature avait toujours ses trois bosses sur le front et ne possédait que trois doigts à chaque main. Elle n'avait ni nombril, ni mamelons, ni organes sexuels apparents, ce qui laisse supposer un mode de reproduction très particulier. Conformément aux premiers témoignages, la peau à l'aspect huileux était de couleur brune et présentait d'importantes rides ou éraflures au niveau de l'articulation des jambes. Au terme de cette macabre présentation, le couvercle de la caisse fut remis en place et vissé. Deux militaires, masqués et gantés, enveloppèrent alors le tout dans un plastique noir, puis chargèrent la caisse à l'arrière du camion garé à proximité. Le lendemain matin, de bonne heure, un convoi militaire quitta la région de Varginha. Le corps de la créature venait sans doute d'être transféré à Unicamps, l'université de Campinas, à 320 km au Sud-Ouest de Varginha.

Bien que la piste du cadavre s'arrête ici, plusieurs éléments incitent les enquêteurs à penser qu'il fut confié à l'armée américaine. Divers recoupements semblent indiquer que le gouvernement américain a effectivement été mêlé à l'affaire. La présence d'un Américain fut signalée le matin du 20 janvier, lorsque la première créature fut capturée et chargée dans un camion militaire. Plus tard, au cours de la même journée, un avion de transport C-5 ou C-17 de l'US Air Force atterrissait à l'aéroport international de Sao Paulo. Deux jours plus tard, le même avion fut repéré sur l'aéroport de Campinas, proche de l'université où la deuxième créature est supposée avoir été transportée après autopsie. Coïncidence ? Cela ne signifie-t-il pas que deux créatures, l'une vivante, l'autre morte, furent acheminées vers les Etats-Unis ? Ils existent d'autres indices en faveur de cette thèse. En avril 1966, Louiza Silva, la mère de deux des jeunes filles terrifiées par l'apparition de la deuxième créature, indiqua que quatre étrangers étaient venus lui rendre visite. Ces hommes étaient habillés d'un costume de marque aux tons clairs. Ils lui offrirent une somme importante en espèces afin que ses filles reviennent sur leurs témoignages et prétendent avoir menti. Lorsque Louiza Silva refusa, les hommes promirent de revenir sur un ton brusque, puis quittèrent les lieux dans une voiture récente, une Lincoln Continental Bleue. Comment les Américains avaient-ils pu être si rapidement au courant de ce qui se passait à Varginha, une petite ville du Brésil ? Pacaccini l'apprit plus tard en interrogeant un opérateur radar de l'aviation brésilienne. Celui-ci révéla que les autorités militaires brésiliennes avaient été informées par les Etats-Unis qu'un ovni entrait dans leur espace aérien. Les Américains furent également en mesure de préciser la latitude et la longitude de la route suivie par l'objet. Cette information corroborée par des centaines d'observations d'ovnis signalées dans la région de Varginha durant la période précédant le 20 janvier. Un agriculteur, Eurico de Freitas, raconta par exemple comment sa femme et lui furent réveillés par une agitation anormale des animaux de la ferme. Ils virent alors, par la fenêtre de leur chambre à coucher, un objet grisâtre, émettant une "sorte de fumée", traverser silencieusement les champs à environ 5 m du sol, avant de disparaître dans la nuit.

Selon l'ufologue Pacaccini, les deux êtres capturés pourraient être soit d'origine humaine (peut-être par le résultat d'expérience scientifique ou militaire), soit de véritables extraterrestres dont le véhicules se serait écrasé non loin de Varginha, et qui auraient erré jusqu'au jardin Andere où ils furent capturées. Mais où se serait produit le crash ? Ce genre d'accident devrait laisser des traces. Pacaccini déclare que ses recherches pour retrouver le site de cet éventuel crash ont été entravées par des militaires. Il affirme même avoir reçu d'innombrables coups de téléphones anonymes le menaçant de mort s'il poursuivait ses investigations.

Il également possible qu'une troisième créature serait toujours en liberté. En février 1996, à la sortie d'un virage, un automobiliste vit dans ses phares un être étrange à environ 50 mètres de sa camionnette. Il freina brutalement, la créature se protégea le visage, avant de disparaître dans la nuit. Selon, le conducteur, elle possédait de grands yeux "couleurs de sang".
Revenir en haut Aller en bas
 
VARGINHA
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Yanka, la Porte des Lumières - Forum Paranormal :: MEDIUM :: Phénomènes, Mystères-
Sauter vers: