Etes vous courageux ?

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Le courage par réflexion : faire ce qui est juste


C’est pour vous une question de principe et d’idéaux : le courage, c’est de réfléchir puis d’agir, même si on a peur, même si ce n’est pas facile, même si cela doit attirer des ennuis. « Je dois le faire, alors je le fais. » Mais ce n’est pas une vertu, ni une qualité. C’est un outil : il existe des criminels et des escrocs courageux. Tout dépend au service de quoi est mis le courage. Pour vous, c’est avant tout s’opposer à l’injustice (secourir les faibles face aux forts), faire son devoir (être fidèle à ses engagements et à ses promesses), se comporter de manière respectueuse (être franc et le moins blessant possible), s’attacher à la vérité plus qu’au confort (oser dire ce qui dérange). Bref, faire preuve de courage, c’est beaucoup de vigilance et d’efforts. Pas grand-chose de spontané là-dedans.

Vous n’êtes pas né courageux, mais vous avez le sentiment d’avoir appris à le devenir. Et c’est maintenant une règle de vie et un cap que vous vous efforcez de suivre. Votre courage coexiste avec de la prudence : vous ne refusez pas d’affronter les problèmes, mais vous voulez choisir quand et comment le faire. Tout le contraire de la témérité ou de l’aveuglement. Lorsque vous vous sentez la force d’intervenir, c’est de manière calme. Vous expliquez, négociez, et ne vous battez qu’en dernier ressort. Pas de rage, juste du courage…

Un défaut à votre cuirasse ? Peut-être celui de vouloir donner des leçons : vous aimeriez bien que tout le monde se comporte de manière courageuse. Et le risque de juger trop vite les autres lorsqu’ils vous semblent faire preuve de lâcheté. Mais vous avez tant de qualités ! Votre courage altruiste aide à faire changer le monde. Et il est d’autant plus admirable qu’il n’est pas une absence de peur, mais la décision que ce n’est pas celle-ci qui doit conduire votre vie.

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Plutôt exact, Je ne suis pas courageuse à la base, c'est plus un choix réfléchi qu'une capacité naturelle.

Exact aussi  ma quête de la chose juste, du respect de la chose promise, l'implication plutôt que la fuite, qui peut me rendre déçue mais souvent frustrée, ou révoltée face à des lâchetés, au mensonge ou à des personnes qui rompent leurs engagements, ou regardent ailleurs quand il y a un problème, parce que se débiner est plus facile que d'assumer ou agir. Facile de se trouver des excuses pour tout.... ou de jouer les caliméro pour justifier la lâcheté.

A ma décharge, je dirais que je donne plusieurs chances aux gens mais si c'est toujours le même comportement, et bien basta......


C'était mon moment défoulement


Hormis ça, je suis zen et de bonne humeur

Le courage après hésitation : agir malgré la peur

Vous ne vous sentez pas courageux. Pas du tout. Mais vous savez l’être quand il le faut. Parce que l’on ne peut tout de même pas tout accepter, tout laisser faire, tout laisser dire. Mais quels efforts pour surmonter vos peurs, votre souci de ne pas blesser et d’éviter les conflits, quel déchirement pour abandonner vos rêves d’harmonie et de tranquillité ! Vous montez au front parce qu’il le faut bien, mais en soupirant.

Et aussi parce que vous savez que si vous ne le faites pas, vous allez vous en vouloir, vous allez avoir honte de vous. Vous préférez finalement affronter le danger plutôt que la culpabilité.
Vous êtes parfois en colère contre ceux qui se sont mis dans le pétrin devant vous : vous voilà obligé de leur porter secours ! Alors que vous ne vous sentez pas du tout l’étoffe d’un héros ni
d’un redresseur de torts ; vous auriez tellement préféré être ailleurs, ne rien voir, ne rien entendre. Mais vous étiez là, alors il faut y aller…

Inconvénient : cela donne à votre courage un côté peu spontané. Et fatigant : il vous faut lutter contre vous-même avant de lutter contre l’adversité. Double combat… Un côté irrégulier et imprévisible aussi, qui peut déconcerter votre entourage : c’est l’audace des timides, ou la colère des calmes. Et une tendance au démarrage tardif, un courage à retardement : il vous faut le temps de puiser dans vos réserves, de renoncer à votre tranquillité de témoin impassible. Parfois, vous arrivez trop tard, après la bataille.

Mais à bien y regarder, dans la galerie des actes courageux, ce sont les vôtres les plus méritants. Car c’est vous qui ressentez les plus grandes peurs, vous qui avez la conscience la plus claire du danger, la vision la plus nette des ennuis que va vous attirer votre courage (la dent cassée pour avoir secouru cette dame agressée, les ressentiments de votre supérieur pour lui avoir dit qu’il se trompait, etc.). Malgré cela, vous avez agi ! Comme Flaubert, qui écrivait : « Du courage, je n’en ai guère. Mais j’agis comme si j’en avais. Ce qui revient peut-être au même. »



je suis méritante, au moins du positif !!!!!!!

Discrète c'est beaucoup plus courageux d'essayer même si c'est difficile, que de ne pas essayer juste parce que c'est plus facile.

Le courage après hésitation : agir malgré la peur

Le courage après hésitation : agir malgré la peur

Le courage après hésitation : agir malgré la peur

Vous ne vous sentez pas courageux. Pas du tout. Mais vous savez l’être quand il le faut. Parce que l’on ne peut tout de même pas tout accepter, tout laisser faire, tout laisser dire. Mais quels efforts pour surmonter vos peurs, votre souci de ne pas blesser et d’éviter les conflits, quel déchirement pour abandonner vos rêves d’harmonie et de tranquillité ! Vous montez au front parce qu’il le faut bien, mais en soupirant.

Et aussi parce que vous savez que si vous ne le faites pas, vous allez vous en vouloir, vous allez avoir honte de vous. Vous préférez finalement affronter le danger plutôt que la culpabilité.
Vous êtes parfois en colère contre ceux qui se sont mis dans le pétrin devant vous : vous voilà obligé de leur porter secours ! Alors que vous ne vous sentez pas du tout l’étoffe d’un héros ni
d’un redresseur de torts ; vous auriez tellement préféré être ailleurs, ne rien voir, ne rien entendre. Mais vous étiez là, alors il faut y aller…

Inconvénient : cela donne à votre courage un côté peu spontané. Et fatigant : il vous faut lutter contre vous-même avant de lutter contre l’adversité. Double combat… Un côté irrégulier et imprévisible aussi, qui peut déconcerter votre entourage : c’est l’audace des timides, ou la colère des calmes. Et une tendance au démarrage tardif, un courage à retardement : il vous faut le temps de puiser dans vos réserves, de renoncer à votre tranquillité de témoin impassible. Parfois, vous arrivez trop tard, après la bataille.Mais à bien y regarder, dans la galerie des actes courageux, ce sont les vôtres les plus méritants. Car c’est vous qui ressentez les plus grandes peurs, vous qui avez la conscience la plus claire du danger, la vision la plus nette des ennuis que va vous attirer votre courage (la dent cassée pour avoir secouru cette dame agressée, les ressentiments de votre supérieur pour lui avoir dit qu’il se trompait, etc.). Malgré cela, vous avez agi ! Comme Flaubert, qui écrivait : « Du courage, je n’en ai guère. Mais j’agis comme si j’en avais. Ce qui revient peut-être
au même. »

Le courage après hésitation : agir malgré la peur

Vous ne vous sentez pas courageux. Pas du tout. Mais vous savez l’être quand il le faut. Parce que l’on ne peut tout de même pas tout accepter, tout laisser faire, tout laisser dire. Mais quels efforts pour surmonter vos peurs, votre souci de ne pas blesser et d’éviter les conflits, quel déchirement pour abandonner vos rêves d’harmonie et de tranquillité ! Vous montez au front parce qu’il le faut bien, mais en soupirant.

Et aussi parce que vous savez que si vous ne le faites pas, vous allez vous en vouloir, vous allez avoir honte de vous. Vous préférez finalement affronter le danger plutôt que la culpabilité.
Vous êtes parfois en colère contre ceux qui se sont mis dans le pétrin devant vous : vous voilà obligé de leur porter secours ! Alors que vous ne vous sentez pas du tout l’étoffe d’un héros ni
d’un redresseur de torts ; vous auriez tellement préféré être ailleurs, ne rien voir, ne rien entendre. Mais vous étiez là, alors il faut y aller…

Inconvénient : cela donne à votre courage un côté peu spontané. Et fatigant : il vous faut lutter contre vous-même avant de lutter contre l’adversité. Double combat… Un côté irrégulier et imprévisible aussi, qui peut déconcerter votre entourage : c’est l’audace des timides, ou la colère des calmes. Et une tendance au démarrage tardif, un courage à retardement : il vous faut le temps de puiser dans vos réserves, de renoncer à votre tranquillité de témoin impassible. Parfois, vous arrivez trop tard, après la bataille.

Mais à bien y regarder, dans la galerie des actes courageux, ce sont les vôtres les plus méritants. Car c’est vous qui ressentez les plus grandes peurs, vous qui avez la conscience la plus claire du danger, la vision la plus nette des ennuis que va vous attirer votre courage (la dent cassée pour avoir secouru cette dame agressée, les ressentiments de votre supérieur pour lui avoir dit qu’il se trompait, etc.). Malgré cela, vous avez agi ! Comme Flaubert, qui écrivait : « Du courage, je n’en ai guère. Mais j’agis comme si j’en avais. Ce qui revient peut-être
au même. »